Inauguration
Le responsable de Serres Lez'Arts inaugure la vingt-et-unième édition d'exposition entouré des officiels du département devant de nombreuses personnes et sous le regard du lézard symbole de l'association.
BALLARE Claude & Christiane
LA GLYCINE 9, Rue des jardins
Nous faisons des collages la plupart du temps avec des images anciennes et de vieux papiers. Nous façonnons des livres d’artiste (exemplaire unique) avec ou sans texte.
D’autre part, de façon tout à fait artisanale, nous fabriquons en micro-édition (une vingtaine d’exemplaires) de petits livres pour lesquels les collages peuvent inspirer des auteurs contemporains, pour d’autres ce sont les textes qui amènent les collages.
BASU Madhu
MAISON DU FERBLANTIER 38, Rue Henri Peuzin
Des pots, ces humbles objets sont en fait universels et intemporels. Ils créent un lien civilisateur, je veux dire par là qu’ils ont été et sont encore en tous lieux et de tous temps, depuis le néolithique, propres à l’humanité. Ces objets sont probablement parmi ceux qui ont primitivement révélé la créativité de l’homme.
BÉGUIN Cristelle
MURPHY GROCERY 87, Rue Henri Peuzin
Mon imagination et ma sensibilité à l’écologie influencent et guident mon travail artistique fait d’assemblages mixtes en tout genre.
Comme je m’interroge sur les débordements de la société de consommation pour l’avenir de notre planète, mes créations témoignent de ces craintes et si mes personnages exhibent un air oppressé, parfois persécuté, ils sont plus généralement gais et burlesques, révélant chacun la part d’animalité qui nous anime dans un monde trusté par la standardisation et l’industrialisation.
BÉVILACQUA Christine
ECOMUSÉE Boulevard de la Digue
Mes techniques sont simples : collages, pigments, encres, monotypes, graphite en poudre, brou de noix sur des papiers issus de livres anciens. L’écrit, le temps, la trace font partie de ma recherche. Pour cette exposition j’ai choisi de travailler sur le thème de l’arbre avec jean François Cholley, photographe, sous forme de diptyques peinture photo dans une correspondance subjective du fond et de la forme en petits formats
CHOLLEY Jean-François
ECOMUSÉE Boulevard de la Digue
Photographe – Plasticien, j’utilise toutes les techniques photographiques du XIXe siècle qui sont complètement artisanales, je fabrique tous les composants et toutes les chimies… À travers ce travail je fais une relecture de toute l’histoire de la photographie. Daguerréotype, Calotype, Papier salé, Albumine, Collodion, Cyanotype, Van Dyck, Charbon, Gomme bichromatée, Platine / Palladium, Bromoil, tirages manuels, pièce unique…
Pour cette exposition, j’ai choisi de travailler sur le thème de l’arbre avec Christine Bévilacqua, peintre, sous forme de diptyque photo/peinture dans une correspondance subjective de fond et de forme en petit format.
DE SÉPIBUS Olivier
BOUTIQUE DU ROCHER 2, Rue du Portail
…Pour arriver à créer sur un lieu / territoire / paysage, je dois m’en imprégner. Le passage par la photographie et le dessin sont des moyens pour l’explorer finement. Photos, dessins, œuvres in situ deviennent des médiations avec le lieu, une façon de me mettre en relation avec le visible et l’invisible du paysage.
DUCRET Éva
MAISON ROCHE Rue du Bourg Reynaud
« À l’image de la pensée créatrice d’Eva Ducret, son œuvre, dans la logique interne de sa cohérence formelle est sensitive et sensuelle, intuitive et émotionnelle, poétique et onirique. Que ce soit matériellement sur son plan technique de réalisation plastique fixant les sensations sur les matériaux ou plus abstraitement sur son plan de composition esthétique activant les intensités artistiques, elle relève d’une conceptualité sensible. » Joël Couve
ÉRARD Christiane
BOUTIQUE ANAÏS La Placette
Essayer de traduire la beauté de ce qui nous unit, de ce qui nous relie à toutes formes de vie. Voilà ma quête personnelle ! Exprimer dans la matière la richesse de mes rencontres, de mes espérances et tout ce qui me fait vibrer. Sculpter la pierre, modeler la glaise ou travailler le verre pour participer à cet élan d’ouverture et d’éveil et réenchanter le monde.
EYERMANN Myriam
HANG’ART Route de Grenoble
L’argile m’offre le moyen de matérialiser mes pensées et de les partager avec vous. Ce sont des mondes fantastiques, des contes et légendes qui m’inspirent souvent. Des mondes d’enchantements, de beautés et de laideurs, de joies et de peurs. Des mondes souvent plus profonds qu’on ne le pense. Merci à mes parrains (Gilles et Yves) de m’avoir initié à la technique du modelage, de m’avoir donné ces outils pour vous dire : « retrouvons nos âmes d’enfants, le monde en a besoin »
FOUASSIER Marie-Line
CHEZ DENISE 15, Rue Varanfrain
En sculptant j’allie poésie, savoir-faire, dialogue avec la nature, source infinie d’inspiration. Mes créations tentent de donner corps à mon ressenti du vivant, en nous et autour de nous, à la matière subtile qui tisse nos vies et qui le temps d’une mise en forme, se cristallise permettant le partage avec les autres. Riche de 35 ans de taille des pierres, je m’aventure vers le végétal, le fragile.
FREDERICQ Guy
GARAGE BLEU/ Esplanade Ste Catherine
De l’esthétique, bien sûr, mais je veux aussi questionner, dénoncer, dire mon refus de cette barbarie qui nous emporte.
GUILLOTEAU Pierre
ATELIER D’ANTHONY 4, Rue du Portail
Artiste en Art – Nature nomade, je parcours des chemins de traverses entre disciplines, la sculpture, l’installation, la performance, la photos, la vidéo, la peinture.
Je propose ici une promenade contemplative, à travers le portrait de paysages qui m’inspirent. Des lieux riches de diversités et de singularités, de vies, de formes, de couleurs et de matériaux, qui sont pour moi des matières à penser et à agir. Pour un éloge à la sobriété heureuse, une présence attentive et active, vers un horizon désirable à partager.
HIPPERT Juliette
ÉCOLE DE SERRES
Dans un univers humoristique et absurde, Juliette Hippert réalise des jeux à partir de détails de la vie quotidienne, des corps-objets qui se racontent dans l’es- pace sous la forme de performances, machines ou installations textiles.
Une installation participative « Permis de glisser » pour mieux prendre la tangente vous attend… Un parcours de glisse préparé par les CM1, des règles du jeu pour glisser de plusieurs manières à l’aide d’accessoires et de sculptures à glisser sont proposés.
JABLONKA Aurélien
CHEZ CHANTAL & NORBERT 9, Rue de l’Auche
Exercer la relation au monde, au non-humain, au non-animé. Saisir la résonance intérieure, en inscrire la trace, dans une relation intime et quotidienne : je dessine et peins la nature que j’habite, ni spectaculaire, ni spécialement pittoresque, encore moins sublime. Puis se tenir dans l’atelier pour qu’émerge « un tracé, visible encore, où tout autre regard retrouvera les motifs qui soutiennent son inspection du monde. » Maurice Merleau-Ponty, L’œil et l’esprit.
LABACHE Patricia
ENCHANTIER 32, Rue Henri Peuzin
Exercer la relation au monde, au non-humain, au non-animé. Saisir la résonance intérieure, en inscrire la trace, dans une relation intime et quotidienne : je dessine et peins la nature que j’habite, ni spectaculaire, ni spécialement pittoresque, encore moins sublime. Puis se tenir dans l’atelier pour qu’émerge « un tracé, visible encore, où tout autre regard retrouvera les motifs qui soutiennent son inspection du monde. » Maurice Merleau-Ponty, L’œil et l’esprit.
MALAK Héléna
MARC Jean-François
LA CHAPELLE Chemin de La Chapelle
« En glanant objets, savoirs et récits, le duo d’artistes glaneurs composé d’Helena Malak et Jean François Marc vous invite à pénétrer à l’intérieur de leur cabinet de curiosité animal. À la façon d’une carte mentale in situ, les habitants seront invités à partager leurs expériences des mythes et légendes du coin et à réfléchir collectivement nos rapports au vivant et au sauvage. »
MALLÉGOL Antoine
CAVE DU PRESBYTÈRE Rue du Bourg Reynaud
Port d’Attache (figuré): tout ce vers quoi ou qui, on tend à revenir De mon village d’enfance aux pêcheurs d’Afrique de l’ouest, en passant par le Vieux Port de Marseille, embarquez pour l’exposition photographique Port d’Attache.
Naviguant entre les sens et définitions, cette exposition propose une explo- ration de ce que peut représenter un port d’attache.
D’inspiration documentaire et travail- lant principalement en argentique, l’idée est de chercher à poser un regard personnel sur le réel. En essayant de partir de l’intime et d’expérimenter de nouvelles formes de narration.
NÉNU
LA CATÉCHÈSE 54, Rue Henri Peuzin
Mes photographies content ce qu’il reste d’une situation vécue, ni hasardeuse ni complètement logique. S’attachant au réel, elles viennent dépeindre des paysages hybrides, ceux que j’ai croisés sur ma route lors de « road trip ».
La solitude, la beauté du goudron et des arbres se côtoient. La condition humaine devient condition des paysages, mi-asphalte mi-terre. La démarche documentaire est ici un moyen d’observer et de politiser notre rapport aux paysages, de questionner leur devenir.
Le regard et l’écoute sont un point de départ pour couper le moteur. Faire une pause dans l’errance.
PINERO BALASTEGUI Eugène
GARAGE LOULOU Place de la Juiverie
Non Finito
Expression italienne qui désigne l’état d’inachèvement d’une œuvre d’art. Le côté négatif de l’œuvre ne mérite l’attention que dans la mesure où il est fortuit, volontaire, regretté ou apprécié par l’artiste ou encore par son public. Le Non Finito peut être considéré comme une imperfection. Mais pour moi c’est un moyen d’expression intéressant qui questionne sur la perfection et qui élargit le regard sur l’art.
POUZOL Dominique
CHEZ BILLY 76, Rue Henri Peuzin
Le dessin est une manière de me confier, de « digérer » le monde qui m’entoure. La série que je présente témoigne de ce qui me fait plaisir, ce qui m’interroge, m’interpelle. C’est une routine que j’avais déjà adoptée à l’école déjà. Surtout au collège, en dessinant sur les pages de mon agenda qui m’accompagnait quotidiennement. Alors que j’avais du mal à comprendre ce qui se passait dans ma tête, dans mon corps.
ROMANIN Catherine
MAISON MAUNIER 78, Rue Henri Peuzin
C’est en cheminant le long des sentiers que mon regard enregistre le graphisme des herbes, la texture de la terre, de la roche et que je commence à utiliser mon souffle comme un matériau.
Mes pratiques se nourrissent entre elles, évoluent fréquemment par réap- propriation d’éléments antérieurs. Une impression de force apparente s’en dégage alors qu’à l’inverse les tech- niques utilisées suscitent un sentiment de grande fragilité. C’est paradoxalement cette oscillation qui alimente ma recherche et ancre mes choix plastiques.
SILVE Karen
MAISON PAUL 4, Rue du Pressoir
Les peintures de Karen Silve sont des distillations de ses émotions, impressions et expériences dans les domaines de la nature et de la culture. Entourée par la beauté des paysages du nord- ouest du Pacifique aux États-Unis, où elle est basée, et par la campagne autour de sa maison familiale en Provence, en France, elle superpose la couleur et le geste dans des récits abstraits, composés de visuels, de sensations et de souvenirs, qui fusionnent dans un espace pictural non littéral.
Mais d’ailleurs… en est-on si certain ?
Exposition des classes de 5ème 1
OFFICE DU TOURISME
La salle d’exposition nous donne l’occasion de mettre en valeur le travail de partenariat réalisé avec le col- lège de Serres dans le cadre de la résidence « Regards sur le territoire ». Cette année, Olivier de Sépibus, artiste en résidence, a travaillé avec la classe de 5 ème1. Les collégiens ont pu ainsi bénéficier de 15 ateliers et partager le regard d’un artiste sur notre territoire. L’occasion d’aborder le paysage et diffé- rentes techniques pour comprendre ce qu’est une démarche artistique.
Installations diverses
L'arbre à palabre
La colonne Mauric
Antoine Moreno expose dans le cadre de sa formation
Atelier du papier végétal par Glen
Les lots de la tombola