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SPORT AUTOMOBILE : SAVOURNON 8 et 9 AOÛT 2009 - Public

Cette année, c'est un changement de décor que nous propose Autozone pour sa compétition nationale, bien que toujours dans le quartier des Eysserennes.
Ravins plus encaissés, certes, mais plus propices pour les spectateurs, cependant plus complexes pour les concurrents !
Nous avons eu droit à quelques situations rocambolesques !

SPORT AUTOMOBILE : SAVOURNON 8 et 9 AOÛT 2009 - Commissaire

Les ravins encaissés obligent les conducteurs à n'utiliser que trois roues !
Quant au décompte des pénalités, il faut regarder les doigts du (charmant) commissaire qui s'inquiète de l'aspect glissant du terrain...


SPORT AUTOMOBILE : SAVOURNON 8 et 9 AOÛT 2009 - Montée

Le terrain est un peu humide, la côte est raide : certains s'y prennent en plusieurs fois pour gravir ces quelques mètres.


SPORT AUTOMOBILE : SAVOURNON 8 et 9 AOÛT 2009 - Attention !

Autre zone, autre difficulté. Il convient de doser au mieux la propulsion et le fait de ne pas faire s'envoler le train avant lors des pentes raides !
Cette fois, juste un peu de frayeur, le passage a été réussi.


SPORT AUTOMOBILE : SAVOURNON 8 et 9 AOÛT 2009 - Répit

Un peu de répit entre les passages entre les portes.
Ce qui n'empêche pas -au contraire- de porter un regard attentif à la suite de l'épreuve.


SPORT AUTOMOBILE : SAVOURNON 8 et 9 AOÛT 2009 - Dur dur !

Comment franchir une paroi quasi verticale ?
Se présenter d'une manière oblique, économiser une roue (?)...
On admire la solidité du matériel !


SPORT AUTOMOBILE : SAVOURNON 8 et 9 AOÛT 2009 - Cascades

Une série de cascades involontaires
Les difficultés du terrain sont telles qu'à chaque zone il y a eu son lot de situations renversantes. Mais pas de mal, ni pour le pilote, ni pour la machine.
Encore un petit effort, et c'est reparti !

Équillibre précaire sur deux roues, et c'est une réception sur le toit qui va arriver.
Impressionnant ! Les spectateurs anticipent et prévoient un salto arrière. Dure épreuve pour le pilote et sa machine qui vont se retrouver sur le toit. Là encore, plus de peur que de mal !